Jusqu’à sa mort, en 1832, l’Empereur ne commet plus une faute, plus une erreur. Son génie et sa santé ne sont gênés par aucune défaillance. Il est toujours le vaillant soldat de Lodi et d’Arcole, le législateur infatigable du Consulat, le général puissant d’Austerlitz et de Friedland. Waterloo n’existe pas, Waterloo n’a
jamais existé ! La retraite de Russie, 1813, les deux restaurations sont rayées de l’histoire. La France est victorieuse partout et elle s’identifie complètement
dans la personnalité de Napoléon qui peut tout . . .

Ce contenu est réservé aux abonnés